google-site-verification: googlede319a3eacee1517.html Ecrire est un sport de combat: avril 2011

lundi 25 avril 2011

Un peu de pub... C'est lundi et c'est les vacances



















Asphodèle a publié, en Octobre 2010, un très intéressant livre de photographies de Mohamed Camara, photographe malien qui nous propose un regard "croisé" entre Nantes et Bamako..... , en mettant souvent l'accent sur les ambiguïtés entre ressemblances et différences...

Plus d'infos ici

dimanche 24 avril 2011

Les vacances.. Roue libre.. J’ai laissé mon oeil auxiliaire sur le bureau... A vos chapeaux, bibis et autres galurins!.....

samedi 23 avril 2011

Le chapeau

C’est l’histoire d’un missionnaire qui vit au fond de la brousse, dans un tout petit village, avec quelques oyes. Une fois par mois, il doit se rendre à la ville. Quand il revient, sa case est vide, à chaque fois. Tout a été pillé. Lui vient une idée de génie. En partant, un jour, il abandonne sur la table un oeil de verre et prévient le chef du village: je laisse mon oeil.. Si l’un d’entre vous entre dans ma case, je saurai très bien qui. Et quand il revient, de fait, le subterfuge a fonctionné. Rien ne manque. Le stratagème est répété maintes et maintes fois, toujours avec succès, jusqu’au jour où, rentrant, il retrouve une nouvelle fois sa hutte vide. Ne reste que la table et, dessus, recouvrant l’oeil, un chapeau.

vendredi 22 avril 2011

Piss and love

Si, dans un moment d’égarement, vous vous arrêtez au bord de la route pour soulager une vessie impatiente et que, par manque de chance, vous le faites sur l’une de ces croix qui parsèment nos jolies chaussées, je vous souhaite de ne pas être vu par un catho d’extrême droite. Sinon, vous n’êtes pas sorti d’affaire. Dans ce pays, au XXIème siècle, l’obscurantisme revient à la mode. On vous accusera de blasphème. La pisse et la croix ne font pas bon ménage. S’ils trouvent une corde à leur goût, ils vous la passeront au cou. Ou bien ils vous couperont le zizi, comme le disait le Petit Gibus de la guerre des boutons. Allusion volontaire.... Ne serait-on pas revenu des décennies en arrière? Ne serait-on pas au niveau moyen d’une cour de récré?.....

jeudi 21 avril 2011

Déesse

Juste comme ça, j’avais envie de vous rappeler une vieille lune: si dieu existe, c’est une femme et elle est noire.... C’est écrit dans ces livres faits d’un drôle de bois que la morale interdit de brûler : à l’image de dieu, le premier homme... Si on essayait de les cramer, on verrait que c’est faux, l’histoire que soi-disant, ils brûlent pas. Mais on n’ose pas... Dans ces mêmes livres, il est écrit, tous, hein!.., qu’il ne peut y avoir de preuve de l’existence de dieu. Dans un, même, il est dit que c’est un terrible manquement au dogme que d’en chercher une seule... Un truc à vous valoir les feux éternels... Si on y croit.... Pourtant, je n’arrête d’entendre des croyants m’asséner, tenter de m’asséner, des preuves de l’existence du petit lutin qui est au centre de la belle histoire qu’ils lisent et relisent... Votre dieu, bande d’abrutis, aujourd’hui, elle crève de faim dans un ghetto, perd ses enfants l’un après l’autre, meurt sous les coups de quelque barbare, ne peut pas se soigner, est esclave quelque part ou se prépare à prendre un avion qui la raccompagnera “chez elle”.... Au ciel?.... Vive l’anarchie!....

mercredi 20 avril 2011

Surprise

Je vais tenter un amalgame spécieux entre burka et édition... En tant qu’éditeur, il m’arrive de recevoir des textes de gens inconnus ou bien d’autres qui, à priori, soit qu’ils jouissent d’une réputation, soit qu’il aient une aura, sont considérés comme ayant pignon sur rue mais me proposent cependant des textes d’une affligeante médiocrité. Ce n’est pas simple de leur dire, sans circonlocutions, que leur texte est nul. De même, je crains que si vous parveniez à séduire une femme dissimulée sous une burka, vous n’aboutissiez, dans une écrasante majorité des cas, à une déconvenue qui tiendrait à son anatomie plus que décevante. L’époque ne serait-elle pas à la dissimulation?..... Ou, pire, à la prétention?....

mardi 19 avril 2011

Mépris

Être artiste, faire l’artiste, comme on disait autrefois, c’est se situer dans un drôle d’espace, du genre entre marteau et enclume, entre marge et limite, entre réel et rêve... tous ces trucs... D’abord, faudrait définir si c’est réellement un choix ou plutôt un machin inévitable, génétique, ontologique, si on aime les mots gros.... Après, faudrait définir quel genre d’artiste on est, si on est ou non décidé à entrer dans des cases, moderne, actuel, classique, si on est capable ou non de sacrifier ses idéaux.... En rêvant d’être, par exemple, de toutes les catégories à la fois, suivant l’heure et le temps qu’il fait.... Être artiste, c’est un truc totalement furieux... Un truc à ne pas souhaiter à son pire ennemi.... Comment s’étonner, après ça, que beaucoup d’entre ceux qui ont acquis le droit de se poser objectivement comme artistes, parce qu’ils avaient accédé à la reconnaissance, l’adoubement de la part de tout un chacun, aient, justement, vomi la vulgate?....

lundi 18 avril 2011

Une chanson pour débuter la semaine... Pas le genre tralalalala... C’est d’Henri Tachan et ça date du début des années 70, une époque où Mao n’était pas encore officiellement mort....



Si ça se trouve

Paroles et musique: Henri Tachan

Si ça se trouve,
Le couple en face si blond, si beau,
C'est de la frime,
Si ça se trouve,
Le couple à gauche de vieux corbeaux,
C'est de l'estime,
Si ça se trouve
La Belle au Bois Dormant maman
Cuvait sa cuite,
Si ça se trouve,
L'était pas beau le prince charmant
L'avait d'l'arthrite,
Si ça se trouve...

Si ça se trouve,
Au coin du bois le loup attend
Le Chaperon rouge,
Si ça se trouve,
Pour faire l'amour tout simplement
Dans quelque bouge,
Si ça se trouve
La comédie qu'on joue, petit,
N'est pas divine,
Si ça se trouve,
Dans les nuages le grand esprit
C'est une turbine,
Si ça se trouve...

Si ça se trouve,
Elle est déjà trois fois grand-mère
Cett'e petit'e fille,
Si ça se trouve,
Dans son moulin il jouait Schubert,
Maître Cornille,
Si ça se trouve,
Quand il a chaud dans son Enfer
Le pauvre Diable,
Si ça se trouve,
Il monte là-haut faire un poker
Avec le Dabe,
Si ça se trouve...

Si ça se trouve, le président Mao est mort
Depuis dix piges,
Si ça se trouve,
La rose rêve quand elle s'endort
Dessus sa tige,
Si ça se trouve,
Cachées tout au fond au fond de mon dos
Il y a des ailes,
Si ça se trouve,
La nuit, elles dansent le tango,
Les hirondelles,
Si ça se trouve...

Si ça se trouve,
Les bombardiers dans le ciel blanc
n'f'ront plus l'hiver,
Si ça se trouve,
Ils ne joueront plus, les enfants,
Aux militaires,
Si ça se trouve,
Ma chienne beige, ma petit' fille,
Mon espérance,
Si ça se trouve,
Tu m'as rendu toutes les billes
De mon enfance,
Si ça se trouve...

dimanche 17 avril 2011

Un peu de pub, c'est dimanche






Un petit coup de pub pour le sieur Stéphane Prat, écrivain remarquable, et son ROMAN...


Un coup d'oeil également ici et ....

samedi 16 avril 2011

Salon 2

Oh!.. La Palestine!.. C’est vous qui avez écrit ça? Oui... Je suis allé en Palestine et je raconte.... En pélerinage?... Non, pas exactement en pélerinage... Ah!... C’est politique, alors?.. Moi, j’aimerais y aller mais en pélerinage.... Mhhh!... Je suis une folle de dieu!.... Après ça, je l’ai laissée soliloquer....

Plus d’infos sur mon livre ICI

vendredi 15 avril 2011

Noir

Le criminel s’est enfermé dans le silence après avoir avoué son meurtre. On avait retrouvé sa victime découpée en morceaux. On lui attribua alors des tas d’instincts pervers et barbares. Comme il persévérait dans son mutisme, il fut condamné à perpette. Comment avouer sérieusement à la cour qu’il avait simplement voulu s’entraîner, avec l’assentiment de la jolie jeune fille assassinée, à ce tour de magie éculé qui consiste à découper une boîte contenant un corps, sans, normalement, en faire des tranches?

jeudi 14 avril 2011

Cynisme

Si les Français sont assez cons pour voter pour la Le Pen, qu’est-ce qu’on peut leur souhaiter de mieux comme punition que de l’avoir?

mercredi 13 avril 2011

Déjeuner

Au restaurant, ce jour-là, bien difficile de trouver une table. A cause du salon. Et quand on vous en trouvait une, on partait surtout pour une heure d’attente. Les serveuses avaient beau courir dans tous les sens, rien à faire. Les mauvaises langues disent qu’on attend beaucoup à la poste... Je n’ai jamais autant attendu à la poste que dans un restaurant. Mais à la poste, c’est des fonctionnaires. Ça change tout, pas vrai? J’adore ces moments, un peu “café de Flore chez les Sartre” où il m’est donné d’observer mes contemporains. Les gens qui sont là sont, pour beaucoup, des auteurs. Certains pestent, d’autres lisent, un ou deux écrivent. Je comprends. Il y a un livre, là, sous nos yeux, dans ce petit espace et ses habitants temporaires. Mais s’ils griffonnent, c’est avant tout pour qu’on les prenne, surtout, pour ce qu’ils veulent paraître, des plumitifs. Les plats défilent, le personnel court toujours son marathon et le ton monte. De plus en plus d’incidents, d’erreurs, de problèmes de priorité, j’étais là avant!.., et, finalement, la foule de ces gens bien comme il faut finit par se révéler pour ce qu’elle est: un tas de gens définitivement ordinaires, plume ou pas. Mon assiette n’arrive que bien plus tard. La moitié de la place s’est vidée. On ne court plus. Le silence revient. Je vais pouvoir déjeuner en toute quiétude, rasséréné sur la permanence des choses de ce monde.

mardi 12 avril 2011

Beauté

Une étude sociologique récente et d’origine britannique (sans garantie, le “britannique”...) nous enseigne sur une évidence lapalissadesque: être beau rend stupide.... Convoquer Monsieur de La Palisse peut sembler excessif... Pourtant, il apparaît que cette assertion ne supporte guère de contradictions... Lorsque votre commerce avec autrui est, d’emblée, orienté par votre pouvoir de séduction, on comprend bien que cela ne vous incite pas à l’effort dans vos relations et, donc, en particulier, à celui qui consiste à séduire par votre esprit.... Corneille nous a déjà édifié sur ce sujet et la réponse de Brassens est sans équivoque: j’ai 26 ans, mon vieux Corneille, et je t’emmerde en attendant!.... Molière s’y est également frotté, au travers de son Misanthrope.... Une belle fille, un beau mec, serait-ce, donc, par essence, stupide? Drôle de débat, n’est-il pas? Surtout quand la “science” s’en mêle...
Remarquez, être laid, manifestement, rend méchant.... Voir Sarko, Berlu ou bien Adolphe... Que vaut-il mieux, en définitive? La connerie ou la méchanceté?

lundi 11 avril 2011

Va te faire voir chez les Grecs

Et mon cul, c’est du poulet?
Et ma soeur, elle pisse bleu?
Ta grand-mère, elle fait du vélo?...
Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages!
Tu me prends pour un perdreau de l’année?
Mon oeil!
Je suis pas tombé de la dernière pluie!
Si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle!
Avec des si, on mettrait Paris en bouteille....
Tu déconnes?...
Non?....
Tu me prends pour une bille?
On me la fait pas!...
Tu rêves?...
Tu prends tes désirs pour des réalités...
Redescends de ton nuage...
Je vais te mettre du plomb dans la tête...
Et ta soeur, elle bat le beurre?..
Tu te fous de ma gueule?...

C’est fou ce qu’on doute, en français populaire, non? Mais de quoi?

dimanche 10 avril 2011

Un peu de pub, c'est dimanche







Un peu de pub pour le N°2 de la revue Charogne qui paraîtra cette semaine......

samedi 9 avril 2011

Statues...

Thomas Bernhardt, pour expliquer la déchéance du monde, ce que, avant lui, Nietzsche avait déjà souligné, invoque la “calcification”, un mal qui prendrait l’être humain à partir d’un certain âge, provoquant sa rigidification autour de quelques principes dépassés, obsolètes, surannés. J’ai comme l’impression que Thomas s’est un peu oublié dans sa théorie. Pourquoi existe-t-il des gens qui, comme lui, échappent à la raidification inéluctable? Et, au passage, pourquoi y aurais-je échappé moi-même?....

vendredi 8 avril 2011

Tremblez, terriens!....

L’apocalypse redevient à la mode, vous avez remarqué?... Comme l’an mil, l’an deux mil, la comète qui va bien finir par arriver, ça y est, on aurait compris quelque chose, aidés en cela par le réchauffement, les tremblements terrestres, la cata nucléaire, ça y est..., on chie dans nos frocs.... L’Humanité n’aurait pas d’avenir.... Personnellement, je suis écroulé.. de rire... Les plus comiques des alarmistes prévoient la fin de la planète... Pauvres de nous.. Comme si la planète en avait quelque chose à faire qu’on soit ou non à sa surface. Les plus modérés prévoient, eux, la fin de l’humanité.. Je ne dis pas que ce sera facile.... Mais, pourtant, quelque chose me dit que, pour le moins, une certaine partie de la vie devrait perdurer, avec ou sans nous, lorsque nous aurons fini nos bêtises. Peut-être, forte probabilité, parmi les survivants, quelques humains.. Lesquels?... Toujours les mêmes....

jeudi 7 avril 2011

Joie et prospérité

Les optimistes, c’est un ravissement.... Vous leur dîtes: on va pas s’en sortir, là... Ils lèvent les yeux... Poh poh poh!... Non mais, sérieux, il nous faudrait trois planètes... Faut pas tout croire, mon gars, ils répondent!.... Mais, de vrai, tu vois pas?... Mais si, je vois, ils disent, mais t’en fais pas!... On va trouver.... C’est ce qu’il y a de pire, avec ces gens-là.. La confiance en l’avenir... Un truc qui ne repose que sur une seule idée: les anciens s’en sont sortis, on est là, pourquoi veux-tu que, cette fois, ce soit la fin? On n’a plus d’eau, plus d’énergie, plus de céréales, plus de poisson, plus de forêt, plus rien..., on meurt de la pollution, de la technologie nucléaire, des pesticides, des multinationales agro-alimentaires... Mais, surtout, on ne s’en fait pas.. On va trouver!... Bonne chance!....

mercredi 6 avril 2011

Là-haut

La tour d’ivoire... Beaucoup pensent qu’on doit cette image à Nietzsche... Cette allégorie de la montagne. Pourtant, Friedrich n’y voit que le siège des “rapaces”... Je pense que Thomas Mann y a fait bien plus. Mais la question, en réalité, ce serait de savoir ce qu’on peut bien voir du haut de cette montagne.... Manifestement, on y aperçoit la “masse” sous la forme d’un ensemble de particules ridiculement petites et agitées. De manière évidente, la plupart d’entre nous voit dans ce constat une marque de mépris. Se faire qualifier de poussière insignifiante n’est ni agréable ni tout à fait moral. Au nom de quoi certains pourraient-ils se permettre de nous qualifier de quantité négligeable. Moral.. Le mot est lâché.. Son apparition ne doit rien au hasard. Pour le coup, la réponse à cette objection, elle, se trouve bel et bien dans l’oeuvre de Nietzsche. Car l’allégorie de la montagne ne pose aucune hiérarchie. Elle se borne au constat. Et que sommes-nous d’autre, en vérité, que poussières dérisoires? Philosophes compris. La différence, c’est qu’il me semble qu’eux-mêmes l’ont compris et l’acceptent. Mais la question demeure. Que ramène-t-on de si étrange de ce voyage sur les cimes? Si l’on en croit les oeuvres de poètes, d’écrivains, de philosophes qui ont fait ce voyage, il semble bien que le petit tour là-haut, là-bas, ailleurs, procure à son auteur une vision un tantinet impériale sur les choses du monde, un reagrd qui ne fait, d’ailleurs, qu’accroître le sentiment d’humiliation qui est le lot de tous ceux qui n’ont pas fait ce voyage. La question demeure pourtant: que peut-on bien rencontrer sur ces sommets de la pensée?

mardi 5 avril 2011

Paupérisation

Le problème des CSP ni sup ni inf, les classes moyennes, c’est seulement un problème de seuil. On se démerde, si vous voulez, pour partir quand même en vacances, pour payer ses dettes, pas toujours en temps et en heure, pour bouffer, souvent très mal, avec des produits dont on sait qu’ils sont nocifs, et qu’on évolue parmi des gens qui sont, eux, CSP+ à ++++, sans se rendre vraiment compte, eux, qu’ils sont totalement à l’abri de ce genre de préoccupations. Quand vous dites à ce genre de citoyens que vous n’avez pas un rond vaillant, ils ne comprennent tout simplement pas. Pour vous, pas un rond, c’est réellement pas un rond. Pour eux, c’est relatif. Jamais ils ne peuvent s’imaginer que vous hésitez à vous acheter un kilo de pâtes ou dix litres de SP 95.... C’est pourtant la cruelle réalité des gens “entre deux”. L’appauvrissement, c’est, pour les uns, une question d’impôts, pour d’autres une question de survie....

lundi 4 avril 2011

Tic tac

Je regarde la pendule, mon agenda, l’état des choses, je parcours l’étendue du désastre, je visite mon oeuvre (si, si!..), j’envisage ce qu’il me reste à faire et je fouille la mémoire de mon ordinateur... Un seul constat.... Au moins vingt textes que je considère comme achevés, mais, bien pire, au moins une trentaine en chantier.... Je n’aurai pas le temps... Pas le temps non plus de lire ce qui me reste à lire, ... tous mes glorieux ancêtres.. mais également de tous mes glorieux contemporains.... C’est pantagruélique, gargantuesque, c’est tout simplement infaisable.... D’autant moins que chaque jour m’apporte son lot de textes à entammer.... Il va me falloir accepter l’idée d’une certaine incomplétude... J’ai beau travailler la nuit, orienter mes rêves, me suggestionner, simplifier... Pas moyen.... Je n’aurai pas le temps..... A l’évocation de cette phrase me revient une chanson de variété... Une simple chanson de variété..... Au risque de surprendre, je l’avoue, les chansons de variété font aussi partie de mon univers de pensée... Qui dit mieux?.... Celle-là est de Michel Fugain.... Un très vieux truc.... Je la dédie à tous ceux qui, les veinards, ont, eux, le temps d’accomplir leur tâche.....


Je n'aurai pas le temps, pas le temps
Même en courant
Plus vite que le vent
Plus vite que le temps
Même en volant
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
De visiter toute l'immensité
D'un si grand univers
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps de tout faire

J'ouvre tout grand mon coeur
J'aime de tous mes yeux
C'est trop peu
Pour tant de coeurs et tant de fleurs
Des milliers de jours
C'est bien trop court, bien trop court

Et pour aimer
Comme l'on doit aimer quand on aime vraiment
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps, pas le temps

J'ouvre tout grand mon coeur
J'aime de tous mes yeux
C'est trop peu
Pour tant de coeurs et tant de fleurs
Des milliers de jours
C'est bien trop court, c'est bien trop court


M Fugain

dimanche 3 avril 2011

Un peu de pub, c'est dimanche







Les éditions Asphodèle seront présentes, avec tous leurs livres, au 16ème salon du livre jeunesse de Couëron, du 4 au 10 Avril
Les 9 et 10 Avril, quelques auteurs d'Asphodèle seront présents pour une dédicace de leurs ouvrages.

samedi 2 avril 2011

Bien!... J’avais caressé le rêve de vous faire une bonne blague à l’occasion du 1er Avril... Je vois que ça vous a bouleversés.... Je reviens donc lundi... la queue basse...

vendredi 1 avril 2011

Basta ya...

Bon, c’est décidé.. j’arrête tout et je prends le large... A la prochaine...